1974 - Gand (Belgique)
L'œuvre de Marc De Corte ne peut être classée sous une seule rubrique. Cela tient au fait qu'il ne le considère pas lui-même comme un « travail ».
Tout comme chacun a besoin de manger et de boire, Marc a besoin de créer, de chercher... et oui : il a aussi besoin de trouver des réponses et des solutions.
Oliver Czarnetta, maître sculpteur, historien de l'art, écrivain et philosophe, a déclaré il y a quelques années : « Marc, tu es un créateur. Vous faites bouger les choses ».
Grâce à un mélange de techniques, Marc crée de nouveaux mondes dans sa mentalité de créateur : il recherche le pouvoir dans une image photographique pure.
Avec la grande passion de Marc : la création de sculptures en bronze et en bois, ses mondes en 2D complètent sa « famille créative », l'histoire qu'il écrit depuis le 1er juillet 1999 (plus de 25 ans maintenant) en tant que sculpteur à plein temps.
L'œuvre de Marc De Corte ne peut être classée sous une seule rubrique.
Cela tient au fait qu'il ne le considère pas lui-même comme un « travail ».
C'est ce qu'il fait pour vivre. Mais... pas au sens financier du terme : son envie de créer est aussi naturelle que la respiration, aussi automatique que les battements du cœur.
Tout comme chacun a besoin de manger et de boire, Marc a besoin de créer, de chercher... et oui : il a aussi besoin de trouver des réponses et des solutions.
Oliver Czarnetta, maître sculpteur, historien de l'art, écrivain et philosophe, a déclaré il y a quelques années : « Marc, tu es un créateur. Vous faites bouger les choses ».
Cette phrase est restée dans les mémoires, à tel point qu'aujourd'hui, Marc se considère davantage comme un « faiseur » que comme un artiste. La recherche de matériaux, de nouvelles techniques, l'interaction fascinante entre l'innovant et le familier donnent de l'énergie à Marc, le font pétiller.
C'est un créateur.
Mais que signifie exactement être un « maker » ? On pense immédiatement à quelqu'un qui fait quelque chose à partir de rien, à un créateur. C'est une approche très matérielle, qui ne représente qu'une partie de ce qu'est réellement un créateur.
Un créateur est avant tout une personne créative qui résout des problèmes, quelqu'un qui « fait », un innovateur. Les makers ne se contentent pas de rendre les idées tangibles, matérielles : plus que quiconque, ils sont capables d'envisager toutes les possibilités et d'appliquer leur créativité pour trouver des solutions aux défis quotidiens.
« Être maker » décrit avant tout un état d'esprit, une recherche de nouveaux matériaux, de nouvelles possibilités, d'une énergie accessible à tous mais qui, entre les mains d'un maker, se transforme en quelque chose d'inédit, d'inexistant.
En tant que créateur, Marc sait aussi qu'il ne peut pas tout faire seul. Loin de là. Il est important de connaître et de respecter ses limites. Ce n'est qu'ainsi que l'on peut libérer de l'énergie pour ses talents sans s'encombrer de connaissances que l'on ne possède pas, des attentes irréalisables par vous-même.
Il est donc également important d'avoir un bon esprit d'équipe. L'ego humain est souvent une prison. Il aveugle et étouffe vos possibilités, vous fait croire en des objectifs que vous n'atteindrez jamais seul.
Marc a constitué une équipe d'âmes uniques, de personnes partageant le même objectif sous un même dôme : créer de la beauté dans un monde de plus en plus sombre.
Un créateur ne se limite généralement pas à un seul sujet, une seule histoire, une seule technique. Il explore le paysage des possibilités et se met au travail, tout en réfléchissant, Il est animé d'une attitude très orientée vers l'action.
Bien que Marc ait obtenu le titre de maître des beaux-arts en 1997, il ne s'est jamais senti à l'aise avec la description du métier d'« artiste ». Encore une fois, parce qu'il estime qu'il ne s'agit pas d'un travail, mais d'une façon d'être.
Artiste », d'ailleurs, on ne peut pas “devenir” artiste, on l'est ou on ne l'est pas. Mais cela n'a rien à voir. Le terme « artiste » a été valorisé dans notre histoire récente, une valorisation avec laquelle Marc n'est pas toujours d'accord.
Notre société aime attribuer des créations à un individu, les noms et les egos sont devenus très importants sur les médias sociaux, ce monde éphémère où rien ne semble être réel. Un monde où l'on peut avoir des centaines de milliers de followers en commentant les autres... et ne rien créer soi-même... à part ses commentaires.
C'est ainsi que Marc préfère être un « maker » plutôt qu'un « artiste » et qu'il a écouté quelques grandes passions au sein de son envie de créer, de leur laisser l'espace de vivre de manière indépendante, de grandir.
Il a toujours été un « visualiste », un créateur d'images.
Un écrivain est illimité en pages, un chanteur en minutes et en accords. En tant que visualiste, vous n'avez qu'une seule chance : une seule image. Avec cette image, vous évoquez une émotion, si vous avez de la chance. Et si vous avez encore plus de chance, c'est une émotion qui profitera à quelqu'un : la paix, la force, le réconfort, la joie....
Heureusement, comme un musicien, Marc peut jouer avec différents instruments.